Mes rêves de confinée…
Confinée chez moi je rêve à la pointe du jour
Je revois les aubes claires envahirent la terre
Les soleils levant à l’horizon de la mer
Et les rochers se découpant à contre-jour.
Je voyage au gré de mon imaginaire
Tout en étouffant le temps qui m’entraîne au loin
Où j’entrevois ce bédouin
Me fixant de ses yeux clairs.
Pour oublier ces instants d’une lenteur monotone
Je dévore des livres de mes auteurs favoris
Tout en continuant mes propres écrits
Et je vous dévoile les premiers mots d’une histoire bretonne.
Mes cahiers sont remplis de légendes et de korrigans
Je marche dans ma tête comme nous marchions sur la route
Sans me laisser atteindre par le doute
Et la nuit je rêve que je suis poursuivie par des brigands
Parfois je déchire les feuillets d’une histoire à dormir debout
Pour en écrire une autre qui n’a ni queue ni tête
Regrettant déjà la première , cela devient un véritable casse-tête
Je suis devenue Pénélope, je ne vais pas en venir à bout.
Doucement la nuit appareille sur son vaisseau
Et le jour lentement s’enfuit
Soudain apparaît l’astre lunaire en belle-de-nuit
Une journée s’achève, je m’endors au bruit du ruisseau.
Le secret de Mathéo

Il va bientôt arriver, il est là tout près en train de se faire une beauté. Mon roman né de mon imaginaire dans des lieux chers à mon cœur va voir le jour.
Vous apercevez la photo qui orne la première de couverture, cette montagne est majestueuse, elle est située dans le parc de la Vanoise et culmine à 3779 m, sans vous en dévoiler la trame je puis vous dire qu’une partie du roman se passe ici.

Voici sur la quatrième de couverture le résumé. Ah j’en conviens c’est difficile de le lire, alors je vous l’écris rien que pour vous !
Mathéo est muré dans son monde à lui, il est tétanisé par la peur. Sa cousine Rosine va mener une enquête. Il lui cache quelque chose, sera-t-elle capable d’être un rempart pour ce jeune cousin tombé du ciel ?
De la France à Djibouti les intrigues ne manquent pas, qui tirent les ficelles et qu’adviendra-t-il de tous ceux qui ont envie de connaître la vérité ?
Le Mont Pourri est en France, mais pourquoi Djibouti ? C’est aussi là que se situe mon histoire, et, si je vous offrais, juste un petit passage. Hum pourquoi pas? Mais juste un tout petit extrait pour ne rien vous dévoiler juste vous donnez envie….


Ce sont par des chemins détournés que Pierre est rentré illégalement sur le territoire de Djibouti avec un faux passeport, mais pour la mission qu’il doit accomplir il est préférable que personne ne sache qui il est.
Il est arrivé par le train qui relie Addis Abeba à Djibouti mais il s’est arrêté bien avant la capitale et a rejoint le campement où deux guides parlant amharique l’attendaient, là c’était le pays des fous de char à voile, 25 km de désert. Le summum pour ceux que Guillaume recherchait mais pour l’instant il n’y avait pas de chars à voile, seules des antilopes et des gazelles faisaient la course avec leur voiture.
Ce sont deux endroits différents du livre, le premier à Djibouti, le second dans le Parc de la Vanoise dans l’ascension du Mont Pourri :
Nous avons 1530 mètres de dénivelé avant d’atteindre le sommet, nous ignorons si la glace va tenir, l’été a été assez chaud. Mais nous avançons en silence et continuons notre montée jusqu’au Grand Col qui culmine à 2935 mètres. À l’arrêt c’est Guillaume qui a semé le doute en nous. Nous faisions le tour des événements que nous venions de vivre, quand soudain il nous demande à brûle pourpoint :
Voilà deux passages, mais aussi je vous ai livré deux autres personnages, qui sont-ils? Vous le saurez en lisant mon livre. Pour ceux qui me suivent sur Facebook vous l’aurez bientôt, pour les autres il suffit de me le commander.
A bientôt pour un roman chargé d’émotion et de suspens. J’ai eu beaucoup de plaisir en l’écrivant, j’espère que vous en aurez tout autant en me lisant.
La voilà : la nouvelle année
Elle pointe son nez
Avec grâce et beauté
La nouvelle année
Laissant l’autre
Sur le bas-côté.
Elle se fait belle
La voici avec son voile de traîne
Munie de tous ses atours
Elle fait le tour
De toute la terre.
Ici, elle offre ses voeux
De bonheur
De santé
Délaissant les abîmes
Elle gravie les cimes.
Paix, santé et bonheur
J’offre de bons coeurs
Prenez, prenez dans ma hotte
C’est mon offre
Pour cette nouvelle année.
A tous mes amis blogueurs j’offre mes meilleurs vœux
Un dimanche ordinaire
Quelques lueurs éclairent ce matin gris
Où quelques passants surgissant de nulle part
Déambule dans ces lambeaux de brouillard
Accrochés à leurs valises munies de grigri.
La grande salle est vide attendant ces écrivains
Quelques ombres se faufilent et chuchotent
Et jouent au lèche-bottes
Afin de convoiter la meilleure place ce matin.
Un café et une viennoiserie nous sont proposés
Le petit- déjeuner est loin et une grande journée nous attend
Ne pas faire la fine bouche, mais manger à bon escient
Pour attendre midi sonnant sans nausée.
Les visiteurs arpentent les travées du salon
S’arrêtent ici où là selon leurs choix
Et emportent sous leur bras un polar se passant dans un bois
Où un recueil de poèmes parlant d’un étalon.
En ce matin ensoleillé, les livres pour enfants sont boudés
Un peu feuilleté par des petits aux yeux brillants
Mais les parents s’affairent et ne voient pas leurs regards suppliant
Ils vont de-ci de-là sans se laisser embrigader.
A midi les auteurs restent sur place pendant que se vide le salon
Puis à 13 h un groupe revient en force, mais ils nous ignorent
Que de soupirs, de rires entendus devant leurs efforts
Pour faire demi- tour afin de nous laisser pantois comme des polissons.
A seize heures, nouveau coup de force, les voici en nombre
Enfin, chacun s’affaire à vanter ses livres
Ma voisine en vend un seul comment va-t-elle survivre
Puisque c’est son gagne-pain et qu’elle vit de leur ombre.
C’était mon premier salon, j’en tire quelques enseignements
De nouvelles connaissances, car nous devrions bientôt nous retrouver
J’emporte dans ma boîte en carton de précieux renseignements.
Le venin distillé
Vais-je enfin me décider à publier ma prose
Car parfois je doute et je n’ose
Porter son texte pour devenir la seconde « Madame Potter »
C’est juste du rêve, j’ai encore les pieds sur terre.
Mes histoires sont écrites même lues par un petit comité
Les Uns semblent l’apprécier, d’Autres sont enthousiasmes, quelle bonté!
Mon genre c’est du polar, mais jamais trop noir
Un soupçon de frayeur dosé au compte-goutte, voici mon histoire.
Pour être dans le vent c’est un Thriller avec un titre inconnu de tous
Feras-t-il le tour du monde, je vous avoue que j’en doute
Il passera de la lumière à la corbeille c’est le lieu de ceux qui ne prennent pas la bonne route.
Prenez place et plongez-vous dans les premières lignes, mais attention à la secousse,
Voulez-vous que je vous en susurre le titre, n’est-il pas évocateur?
« Le venin distillé » c’ est une histoire de mon imaginaire
Et que vous allez savourer comme un plat culinaire.
Si je suis publiée chez un éditeur.
Texte écrit sur mon dernier recueil mais légèrement modifié sur la fin…
11 novembre
3 août 1914 ordre de mobilisation générale
C’était le temps de la conscription
Aujourd’hui de 21 ans à 51 ans
Tous iront combattre.
Dans le premier mois déjà 300 mille morts
Exténués par les combats les soldats battent en retraite
Le Général Joffre sonne la contre-offensif
C’est la bataille de la Marne.
Au fond de leurs tranchées, dans la boue ils étaient
en rouge garance au début du conflit
Plus tard en bleu horizon
En avant , baïonnette aux canons.
La Marne, Verdun, la Somme,
Jusqu’aux chemins des Dames
1 million 200 milles hommes
Tués, blessés, disparus.
Novembre 1917 Le Tigre veut la victoire
Son gouvernement est celui de la poursuite de la guerre
Il se nomme Clemenceau « le Père la Victoire »
Ils sont mort les hommes que l’on aimait
Ils sont parti à tout jamais
Emportés par des éclats d’obus
Nous les pleurons ils ne sont plus.
Ne les oublions jamais
Nous leur devons notre Liberté.
(Monument aux Morts du Creusot chez moi)
Aujourd’hui, 98 ans après nous les commémorons
En ce 11 novembre 2016!
Et pourtant mon grand-père a finis de combattre en 1919 après l’armistice
En 1915 il est partis combattre aux Dardanelles.
C’était la Campagne d’Orient
Et même dans les Balkans.
Et oui ils y étaient…
Aujourd’hui des migrants venus d’Afrique sont venus honorer la France sur les Champs Elysées
Comment nous l’honorons notre France en ce 11 novembre 2016?
Et les autres jours…..
Je n’ai pas voulu faire des raccourcis, j’ai juste dis mon ressentis.
Un brin de muguet
Ce muguet je ne l’ai pas cueillis
Je l’ai laissé dans son écrin de verdure
Mais en ce premier mai
Je l’offre à vous tous qui me suivez
Sur ma page.
Ces clochettes s’agitent sous le vent
Ce sont de petits grelots blancs
Ils annoncent le joli mois de mai
C’est aussi la fête du travail
En ce jour de repos
J’ai bien aimé cette photo trouvez sur le net je vous la laisse ….
C’est une Association, si vous voulez savoir qui ils sont c’est Ici
Rose des sables
En me baladant sur la terre de mes ancêtres
qui ne flirte pas avec le désert
J’ai contemplé une magnifique rose des sables !
Un rêve….
Ahurissant!
Mais d’où nous vient cette magnifique rose?
Non, je suis bien en France et non dans un désert….
Elle est là! Majestueuse!
Elle nous nargue et nous attire….
Elle fait la coquette.
Se découpe bien dans l’herbe,
Elle !
Qui est souvent dans une immensité couleur sable
Se pavane sur la prairie vert tendre du jardin de mon adolescence
Là où naguère je passais des moments inoubliables
Une rose a été déposée au petit matin…
Mais …..
Combien pèse-t-elle?
Et si vous deviniez, attention ceux qui ont participés sur FB ne peuvent plus le faire…Rire!
Pour en voir d’aussi belles et de toutes petites allez ICI
Le calicot de la dérision
J’avais envie de faire de la dérision sur un sujet de Société assez fort dans notre Pays en ce moment, sans prendre partis pour qui que ce soit, sans crier haro sur le baudet, sans dire amen à tout et à n’importe quoi, juste de l’écrire comme un poète.
Par contre je hais les débordements et les imbécillités qui se créent de ci de là sous la houlette de trublions, comme aurait dit un certain président de la République: » c’est la chienlit »
A Reykjavík les manifestants ont ressortis leurs casseroles…..
Martelé le sol et battre le pavé
En criant des slogans d’un autre temps
Font pas de nous de nouveaux combattants
Si nous avons toujours le poing levé.
C’est bien d’une seule voix que l’on se démène
Mort au tyrans, à bas la bêtise humaine
Sous le calicot de nos mots créons l’unité
Pour faire des autres les nôtres sans autorité.
La paroles des anciens résonnent dans les têtes
Il faut vivre ensemble mais pas renier le passé
Sans jeter la pierre en évitant de croasser
Serrons nous les coudes sans oublier la fête.
Mes mots sont certainement illusoires
A vous de les replacer dans un contexte
Si je rendais ma copie je serais hors-texte
Et pourtant je sais que j’ai un bon auditoire.